Sur les pas d’Enzo Mari et de Bruno Munari, je crois  proposer des objet humains, des objets proches des besoins et des nécessités qui tendent à réchauffer l’équilibre entre l’homme et son environnement. Des objets qui dégagent une aura qui résiste au temps, affective, joueuse et universelle. 

 

Il est important de questionner les acquis, de contextualiser nos recherches et nos conceptions afin de révéler de nouvelles sensibilités. Je n’ai pas d’outils de prédilection, je dirige mes projets en aiguisant quotidiennement mes connaissances sur les matières organiques et minérales, polymères, naturelles ou chimiques afin d’employer le bon médium au bon projet.